Voici la réponse d'un cyberanthropologue, dans un article plutôt intéressant:http://rue89.nouvelobs.com/2016/08/26/faut-avoir-peur-lintelligence-artificielle-258570
mercredi 31 août 2016
lundi 29 août 2016
Le robot mou, passe-partout
Voici un robot-pieuvre qui pourrait défier bien des obstacles:http://www.bbc.com/news/science-environment-37169109
vendredi 19 août 2016
Petite histoire de la pub tournée naguère vers le futur
Un article passionnant sur la publicité du passé tournée vers le futur:
http://www.vivelapub.fr/le-retrofuturisme-dans-la-pub/#3
http://www.vivelapub.fr/le-retrofuturisme-dans-la-pub/#3
mardi 16 août 2016
Une info indécryptable?
Une info indécryptable grâce aux photons? Voici le satellite quantique:
(La Libre Belgique, 16 août 2016)
La Chine a effectué mardi le premier lancement mondial d'un satellite à communication quantique, a annoncé un média d’État, une percée technologique pour Pékin, qui ambitionne par ce biais d'édifier un système inviolable de communications cryptées.
Le lancement a été effectué à 01H40 heure locale (lundi 17H40 GMT) dans le désert de Gobi (nord), a annoncé l'agence officielle Chine nouvelle, et intervient à l'heure où les Etats-Unis, le Japon et d'autres nations souhaitent elles aussi s'imposer dans cette technologie en plein essor.
La Chine a investi d'énormes ressources financières dans ce marathon technologique, l'un des nombreux investissements de Pékin dans la recherche scientifique de pointe, de l'exploitation minière des astéroïdes aux manipulations génétiques.
Le satellite --nommé Mozi en l'honneur d'un philosophe chinois du 5e siècle avant J.-C.-- sera utilisé pour démontrer l'intérêt de la technologie quantique dans les communications longue distance.
A la différence des méthodes classiques de transmission sécurisée, le système utilise des photons (une "particule fondamentale" du champ électromagnétique) pour envoyer les clés de cryptage nécessaires au décodage de l'information.
Les données contenues dans ces photons sont impossibles à intercepter: toute tentative d'espionnage provoquerait leur autodestruction, affirme Chine nouvelle.
Si des scientifiques ont démontré l'efficacité de la technique pour transmettre des messages sur des distances relativement courtes, des obstacles techniques rendent jusqu'ici les communications longue distance hors d'atteinte.
La satellite tentera d'envoyer des données cryptées entre Pékin et Urumqi, la capitale de la région du Xinjiang (nord-ouest), distantes de près de 2.500 kilomètres.
L'opération nécessitera au satellite d'être orienté de façon extrêmement précise vers des stations réceptrices situées sur Terre, selon Chine nouvelle.
"Ce sera comme lancer une pièce de monnaie d'un avion volant à 100 kilomètres d'altitude et espérer qu'elle vienne se ficher exactement dans la fente d'une tirelire-cochon en rotation", a expliqué Wang Jianyu, le responsable en chef du projet, cité par l'agence.
Développer cette nouvelle technologie est un objectif crucial pour Pékin, qui l'a incluse dans son nouveau plan quinquennal publié en mars.
"Ce satellite (...) marque un tournant dans le rôle de la Chine. De celui de suiveuse en matière de développement de technologies de l'information classiques, à celui de leader menant les futurs accomplissements du secteur", s'est réjoui Pan Jianwei, le responsable en chef du satellite, cité par Chine nouvelle.
La Chine "peut espérer la création d'un réseau mondial de communications quantiques vers 2030", a-t-il déclaré.
samedi 13 août 2016
Premier dronoport en Afrique
Le premier aéroport pour drones sera africain
RAPHAËL MEULDERS Publié le vendredi
12 août 2016 à 09h09 - Mis à jour le vendredi 12 août 2016 à 09h12
Depuis le début de cet été, ils décollent à un rythme soutenu. Près de
100 vols de très petits avions s’envolent chaque jour depuis une rampe de
lancement située dans la banlieue de la capitale du Rwanda, Kigali. Ces drôles
d’oiseaux qui survolent les innombrables collines de la région des Grands Lacs
sont des drones conçus par la société californienne Zipline.
Le but ? Livrer médicaments et poches de sang aux dispensaires et
cliniques éparpillés à travers le pays. Une première mondiale, puisque si
certaines ONG utilisent occasionnellement des drones dans leur logistique,
jamais encore ce type d’expérience n’avait été tenté à une telle échelle.
"A terme, notre objectif est de rendre disponible en moins de 35
minutes tous les médicaments essentiels aux 11 millions de Rwandais",
expliquent les concepteurs du projet, soutenu par le gouvernement du pays.
La Libre Belgique
jeudi 4 août 2016
Premiers essais du bus qui circule au-dessus des voitures
En chine, le prototype a commencé ses premiers voyages: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2016/08/04/20002-20160804ARTFIG00108-le-bus-anti-bouchons-fait-ses-premiers-pas-en-chine.php
mardi 2 août 2016
Quel est mon genre SF?
Quand je lis les ouvrages récents de Laurence Suhner (Vestiges), Ef Rouiller (http://www.metaquine.com.preview15.oxito.com/lauteur/) ou JC Gapdy (Aliens, Vaisseau et compagnie),
tous au cœur de la Hard SF, je ne peux empêcher une réflexion sur mes
liens avec le genre science-fiction.
Mon éditeur me considère comme un auteur de « soft sf ». Mouais... Insatisfait de cette appellation, je me suis plutôt présenté comme un écrivain de « fun sf ». Mais ces désignations sont bien vagues, voire trompeuses. Comment donc définir le genre dans lequel j’évolue? J’envisage trois niveaux qui me caractérisent :
- de la poésie cocasse (puisée dans l'observation du quotidien, à la manière de Tati) ;
- de la conscience-fiction (avec des esprits, des émotivités, des croyances au-delà des nôtres) ;
- une philo du futur (tournée vers l’anticipation ; que se passerait-il si… ? par exemple, si les robots avaient des émotions?).
Il y a du Tati dans Le Clou du spectacle: http://assyelle.com/Page_Clou.htm
De la conscience-fiction dans La Joueuse de chimères http://assyelle.com/Page_Joueuse.htm et dans Un Village proche des étoiles http://assyelle.com/Page_Joueuse.htm.
Une philo du futur dans Rêver sur son volcan... http://assyelle.com/Page_Volcan.htm et dans les deux ouvrages à paraître: Robots: gabegie à gogo et Le Robot qui ne servait à rien.
Mon éditeur me considère comme un auteur de « soft sf ». Mouais... Insatisfait de cette appellation, je me suis plutôt présenté comme un écrivain de « fun sf ». Mais ces désignations sont bien vagues, voire trompeuses. Comment donc définir le genre dans lequel j’évolue? J’envisage trois niveaux qui me caractérisent :
- de la poésie cocasse (puisée dans l'observation du quotidien, à la manière de Tati) ;
- de la conscience-fiction (avec des esprits, des émotivités, des croyances au-delà des nôtres) ;
- une philo du futur (tournée vers l’anticipation ; que se passerait-il si… ? par exemple, si les robots avaient des émotions?).
Il y a du Tati dans Le Clou du spectacle: http://assyelle.com/Page_Clou.htm
De la conscience-fiction dans La Joueuse de chimères http://assyelle.com/Page_Joueuse.htm et dans Un Village proche des étoiles http://assyelle.com/Page_Joueuse.htm.
Une philo du futur dans Rêver sur son volcan... http://assyelle.com/Page_Volcan.htm et dans les deux ouvrages à paraître: Robots: gabegie à gogo et Le Robot qui ne servait à rien.
Inscription à :
Articles (Atom)