Quand je lis les ouvrages récents de Laurence Suhner (Vestiges), Ef Rouiller (http://www.metaquine.com.preview15.oxito.com/lauteur/) ou JC Gapdy (Aliens, Vaisseau et compagnie),
tous au cœur de la Hard SF, je ne peux empêcher une réflexion sur mes
liens avec le genre science-fiction.
Mon éditeur me considère comme un
auteur de « soft sf ». Mouais... Insatisfait de cette appellation, je me
suis plutôt présenté comme un écrivain de « fun sf ». Mais ces
désignations sont bien vagues, voire trompeuses. Comment donc définir le
genre dans lequel j’évolue? J’envisage trois niveaux qui me
caractérisent :
- de la poésie cocasse (puisée dans l'observation du quotidien, à la manière de Tati) ;
- de la conscience-fiction (avec des esprits, des émotivités, des croyances au-delà des nôtres) ;
- une philo du futur (tournée vers l’anticipation ; que se
passerait-il si… ? par exemple, si les robots avaient des émotions?).
Il y a du Tati dans Le Clou du spectacle: http://assyelle.com/Page_Clou.htm
De la conscience-fiction dans La Joueuse de chimères http://assyelle.com/Page_Joueuse.htm et dans Un Village proche des étoiles http://assyelle.com/Page_Joueuse.htm.
Une philo du futur dans Rêver sur son volcan... http://assyelle.com/Page_Volcan.htm et dans les deux ouvrages à paraître: Robots: gabegie à gogo et Le Robot qui ne servait à rien.
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